La pollution atmosphérique le premier risque sanitaire d’origine environnementale en Europe

Europe Stop VTAlors que c’est ouvert la Conférence Paris climat (COP 21), l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) alerte sur la pollution de l’air qui « continue » de causer plus de

« 430.000 décès prématurés en Europe par an »

La pollution atmosphérique « le premier risque sanitaire d’origine environnementale en Europe », prévient l’AEE dans un rapport. Les principaux polluants ayant une incidence sur la santé humaine sont les particules (PM), l’ozone troposphérique (O3) et le dioxyde d’azote (NO2).

Changer d’air, c’est changer de comportement !


La proximité au trafic accentue grandement la perception des risques liés à la pollution atmosphérique
La pollution atmosphérique constitue en Ile-deFrance et autres périphériques de villes importantes une préoccupation de santé publique majeur. Près de 60 % des Franciliens déclarent avoir déjà ressenti les effets de la pollution atmosphérique sur leur santé ou celle de leur entourage proche.
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Pollution moto

 

 


La pollution atmosphérique qui sévit présente un risque pour la santé. «la pollution atmosphérique est presque exclusivement due aux moteurs Diesel».

Information Dr Gilles Dixsaut, médecin au laboratoire d’explorations fonctionnelles respiratoires de l’Hôtel-Dieu.

 

Acidification des océans

Consequences_des_emissions_de_CO2L’acidité des océans aurait augmenté de 30 % environ depuis le début de la révolution industrielle.

C’est « l’autre problème » induit par l’augmentation des émissions de dioxyde de carbone (CO2) notamment suite aux rejets de nos pots d’échappement dans l’atmosphère.

Selon les modèles biogéochimiques disponibles, d’importants changements dans la chimie et biochimie océaniques sont à attendre[4] . Des effets qui attaquent les écosystèmes, la santé, la vie en générale.

 

Véhicules électriques une chance citoyenne Française

En 2014, les exportations d’énergies électriques se sont élevées à 65,1 TWh, permettant d’alimenter 24 millions véhicules électrique (TWh = 1 000 000 000 kWh) parcourant une moyenne journalière de 50 km.

Cette exportation permettrait à une importante population Européenne de se déplacer en VE 50 km par jour, nos propres besoins serons couvert par la mise en place des EnR avec émissions de CO2 « du puits à la roue », une des plus faibles au monde. 71% de gain par rapport au véhicule essence, et 64%, par rapport au véhicule Diesel.

Mon style de conduite de ma voiture 100 % électrique, consomme 15,8 kWh / 100 km. Résultat que je pourrais réduire facilement de – 10 % avec un mode ECO. D’ailleurs comme toute la consommation d’électricité en Fance par des Négawatt soit – 49 TWh.  Cela fait un ensemble de 43 millions de VE qui parcours annuellement 18 250 km / an.  Arrêtons de croire qu’il faudrait ouvrir de nouvelles centrales nucléaires pour alimenter les VE à venir. Consommation équivalente à 1.5 l / 100 km de GO avec zéro particule.

Thierry Ziegler

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